Publié le 19 septembre 2025

(Cahier d’acteurs) Ecologistes hors de France

Dans le cadre des Assises de la protection sociale des Français de l’étranger, le mouvement Les Écologistes Hors de France a partagé ses propositions. Elles visent à construire un modèle plus solidaire et adapté aux réalités des expatriés : accès à l’éducation sans condition de ressources, aides sociales réelles, droits des femmes, inclusion du handicap, réforme de la CFE, retraites solidaires…

Les Écologistes Hors de France : propositions pour une protection sociale juste et durable

Dans le cadre des Assises de la protection sociale des Français de l’étranger, le mouvement Les Écologistes Hors de France a partagé ses propositions. Elles visent à construire un modèle plus solidaire et adapté aux réalités des expatriés : accès à l’éducation sans condition de ressources, aides sociales réelles, droits des femmes, inclusion du handicap, réforme de la CFE, retraites solidaires…

Aux côtés des sénatrices Mélanie Vogel et Mathilde Ollivier, les élus écologistes appellent à un changement de paradigme pour répondre aux défis sociaux, climatiques et géopolitiques auxquels font face les Français de l’étranger. Malgré leurs doutes sur les intentions du nouveau gouvernement, ils formulent des pistes concrètes, comme la création d’un fonds d’urgence climatique ou l’amélioration de l’alimentation scolaire à l’étranger.

Par Secrétariat général de l’AFE

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Etat des lieux : dans la circonscription de Madrid, baisse de 43% en 5 ans du nombre de demandes de bourses. Les explications sont locales (hausse des frais de scolarité, concurrence accrue du système d’enseignement local, hausse du coût de la vie, évolution de la sociologie des familles qui s’installent) et tiennent aussi aux critères d’attribution des bourses : double frais pour les parents séparés avec garde partagée, prise en compte de la valeur des biens immobiliers et de la nue-propriété (avec possibilité pour le conseil consulaire de demander des dérogations), revenus des professions libérales et autonomes. Complexité des types d’épargne (crypto-monnaies…) rendant l’instruction des dossiers plus difficiles.